... MAIS ELLE PERDURE, LA FOLIE

photographie: mat jacob

samedi 31 janvier 2015

Ambrotypes


confer: Sally Mann

inclination...

détachement certain/altier/réflexion blême/résonance magnétique nucléaire/encor/pas de côté convulsion/évanescence & déraison/hier/encor/savoir errance cavalcade/instable et/après quand/demain et les palabres/déséquilibre même/ta raison cet hémisphère/à l'abandon pareil/nous sommes encore sommes encore/inénarrable énergumène/encor/adoncques les beatles/spasme parmi les spasmes/éléonore intense après loi/loi comme conneries intrinsèques/encor errance mi-ombre/merdre/merdre/je te connais hier pour rien/hardcore encor/je te connais même encor/ainsi/à l'arrivée du vice/hier/encor elle siffle, cette inclination...

Wanda's Loving boy

mercredi 28 janvier 2015

linoleum

Se perdre est se retrouver quand bien même. S'enfoncer dans l'inconnu rentré. Se noyer. Pour au moins quelques secondes. S'avoir rien encor. Ou... Encor... Ou. Connaître l'ennemi comme inénarrable. Entendre pousser l'herbe. Dérision, dérisoire. Ta minute est mon antre. Temps incertains après l'élan cette vague. Fournir rien pour personne. Fournir rien pour personne. Ici l'essence après nandrolone. Cri pour rien même. Surprised inside the black hole. Après quelque distance linoleum merdre espoir. Pathétique incertaine ton infortune au noir... Je te sais je te vois après les drones d'ombre. Encor rien merdre rien encor. Liquide illusoire ta conversion. Après l'étanche Stanislas domaine électron barrière sons loin d'Andromède. Encor innocent certes les sensations amènes au-delà dévotion incertaine à merdre voir après l'émotion. Cantharides amères ou rien après ce pont délivrance sereine. Cette errance à l'inélégance dernière. Après cette étendue indélicate, merdre à sa manière, irrévérence, quantique cavalcade, sommes rien voire au-delà même hémisphère... Ton savoir encor ailleurs, après tant inhérent...

les mots sont partout

(...), qu'est-ce qu'ils veulent, que je sois ceci, que je sois cela, que je crie, que je bouge, que je sorte d'ici, que je naisse, que je meure, que j'écoute, que j'écoute, ce n'est pas assez, que je comprenne, j'essaie, je ne peux pas, je n'essaie pas, je ne peux pas essayer, j'en ai assez, le pauvre, eux aussi, qu'ils disent ce qu'ils veulent, qu'ils me donnent quelque chose à faire, quelque chose de faisable, pour moi, les pauvres, ils ne peuvent pas, ils ne savent pas, ils me resssemblent, de plus en plus, plus besoin d'eux, plus besoin de personne, personne n'y peut rien, c'est moi qui parle, inutile de se raconter des histoires, dans la soif, dans la faim, dans la glace, dans la fournaise, on ne sent rien, que c'est curieux, on ne sent pas une bouche, on ne sent plus la bouche, pas besoin d'une bouche, les mots sont partout, dans moi, hors moi, ça alors, tout à l'heure je n'avais pas d'épaisseur, je les entends, pas besoin de les entendre, pas besoin d'une tête, impossible de les arrêter, impossible de s'arrêter, je suis en mots, je suis fait de mots, des mots des autres, quels autres, l'endroit aussi, l'air aussi, les murs, le sol, le plafond, des mots, tout l'univers est ici, avec moi, je suis l'air, les murs, l'emmuré, tout cède, s'ouvre, dérive, reflue, des flocons, je suis tous ces flocons, se croisant, s'unissant, se séparant, où que j'aille je me retrouve, m'abandonne, vais vers moi, viens de moi, jamais que moi, qu'une parcelle de moi, reprise, perdue, manquée, des mots, je suis tous ces mots, tous ces étrangers, cette poussière de verbe, sans fond où se poser, sans ciel où se dissiper, se rencontrant pour dire, se fuyant pour dire, que je les suis tous, ceux qui s'unissent, ceux qui se quittent, ceux qui s'ignorent, et pas autre chose, si, tout autre chose, que je suis tout autre chose, une chose muette, dans un endroit dur, vide, clos, sec, net, noir, où rien ne bouge, rien ne parle, et que j'écoute, et que j'entends, et que je cherche, comme une bête née en cage de bêtes nées en cage de bêtes nées en cage de bêtes nées en cage de bêtes nées en cage de bêtes nées en cage de bêtes nées en cage et mortes en cage nées et mortes en cage de bêtes nées en cage mortes en cage nées et mortes nées et mortes en cage en cage nées et puis mortes nées et puis mortes, comme une bête dis-je, disent-ils, une telle bête, que je cherche, comme une telle bête, avec mes propres moyens, une telle bête, n'ayant plus de son espèce que la peur, la rage, non, la rage est terminée, que la peur, plus rien de tout ce qui lui revenait que la peur, centuplée, la peur de l'ombre, non, elle est aveugle, elle est née aveugle, du bruit, si l'on veut, il le faut, il faut quelque chose, c'est dommage, c'est comme ça, peur du bruit, peur des bruits, bruits des bêtes, bruits des hommes, bruits du jour et de la nuit, ça suffit, peur des bruits, tous les bruits, plus ou moins, plus ou moins peur, tous les bruits, il n'y en a qu'un, qu'un seul, continu, jour et nuit, qu'est-ce que c'est, c'est des pas qui vont et viennent, c'est des voix qui parlent un moment, c'est des corps se frayant un chemin, c'est l'air, c'est les choses, c'est l'air parmi les choses, ça suffit, que je cherche, comme elle, non, pas comme elle, comme moi, à ma façon, que dis-je, à ma manière, que je cherche, qu'est-ce que je cherche maintenant, ce que je cherche, je cherche ce que c'est, ça doit être ça, ça ne peut être que ça, ce que c'est, ce que ça peut être, ce que ça peut bien être, quoi, ce que je cherche, non, ce que j'entends, ça me revient, tout me revient, je cherche, j'entends dire que je cherche ce que ça peut bien être, ce que j'entends, ça me revient, d'où ça peut bien venir, jusqu'à moi, puisque ici tout se tait, (...)

in L'Innommable, Samuel Beckett, Minuit/Double (pp 165/167)


samedi 24 janvier 2015

révérence.

attends raide l'impasse menace défoliée errance cataracte le gouffre bel est insolent quand plane inénarrable un présent illusoire dans l'ombre souveraine confusion intense après ces dilemmes encor exquise est ainsi même révérence savoir rien un combat drone  bien après l'écarlate te voir instant perdu après la garde souvenir draps froissés accessoires support acteur halètement un cri hétérodoxe encor la nuit enchevêtrement de discours éloignés ou errance pour tous en illusion passagère hasard disparition même intolérable jeu de haine piqûre indistincte encore hier force corporelle ou sculpturale attention après les hémisphères entrevoir strangulation - spectacle de l'obstacle - accord en contrepoint après l'espace-page à la scène à l'écran irréel indolent savoir entre élément cet objet-corps en contrepoint scène linéaire déperdition ce corps et ses accès cruauté du langage à l'image corporelle mutilation insane supplices virtuels de l'abstrait cette usure béance alterne texte & sublimation permanence repère incision distanciation déviance violence bien près les éléments en système grammaire pesanteur hiatus image dernière alternance souveraine ou flexion récidive abstraction à l'échelle humaine par-delà confession - le corps parcourt le texte - mythique la bête merdre  et cette aberration phantasme après nos apparences figures ou distances encore cette fin...

vendredi 23 janvier 2015

énergumène

savoir pas savoir ne suffit plus où est l'étrange après la fable fissure à l'errance lasse indistinct eros encor les ombres glabres existent malgré ta rage savoir suffire quelle est errance ici  après le spasme intense élan à déférence non. non. non. je te sais ne sait point. erreur manifeste merdre. voir hier énergumène. inélégance luxe encor éphémère... alone après stances. inique à l'hémisphère. connerie merdre. par-delà zone ainsi énergumène.

Away (lag version)



étonnant ce "s"...

S'asseoir


Il s'assied.
Non d'abord, ses yeux sont happés par une tache sur les carreaux de la porte-fenêtre. Indirectement, il s'amuse à fixer tantôt la vague forme, tantôt la branche qui un peu plus loin se dandine.
Il s'assied.
Non, mécaniquement il se dirige vers la lumière qui cogne aux carreaux. A présent, il touche la tache des yeux. C'est une goutte de pluie écrasée, dont l'auréole rend son contour sablé.
D'abord, elle lui a dit qu'elle voulait prendre du recul.
Puis, il a tenté de la retenir, par des mots, par des pensées, par de l'amour envoyé.
Il s'est surpris à sentir toute cette vie capable de sortir de lui.
L'ahurissante nouvelle, suivie d'un silence épais et solide, a déclenché en lui l'urgence de vivre, la nécessité de lui dire.
Il est assis.
Il se dit qu'en reculant, elle en a profité pour s'envoler.
Une bonne partie de la nuit, il a laissé les frelons balayer cette surface lisse, résolument imperméable.
Il s'est laissé les entendre, bercé par ce leitmotiv frénétique.
Insensiblement, l'aurore a fini par les chasser.
C'est l'heure bleue. Pas un bruit n'entrave ce délicieux suspens.
Il se laisse envahir par ce présent.
Il s'assied et se met à penser à ces aventuriers qui construisent un voyage et qui partent.
Seuls.
Ils sont seuls dans le monde qu'ils vont dessiner, avec d'autres, bien d'autres.
Ils sont seuls.
C'est étonnant ce "s" à seul.
Il y a comme ça des mots qui semblent résister au pluriel.


in Movimento, Anne-Gaëlle Burban, éditions de l'attente (pp.56/57)



mardi 20 janvier 2015

oublire...

oublire passe ainsi lasse encore hier errance camarade mentale après le soir imminences bacchanales puis les nuits avoir élan suis même encore ainsi connais la fin comme toi-même instants puis secondes suit l'hémisphère sachant amer une situation après quel ignorant éphémère menace pour rien rire après connaître la fin et la vie crasse encore savoir aussi la panique humaine ou différence déférence ainsi encor hier après l'élan je te connais tu ne hais point je te conçois énergumène ainsi fini quelque ombre sombre cesser considérable l'union après ersatz héros zéro flagrance à l'hémisphère savoir ainsi non & oublire, merdre...

barra barra

eleonora manca 's variations...


Madre_IX



Recalling_II



Change of breath_VIII



Chrysalis room_III



The waiting room_V



The waiting room_III



Insomnia_IV



I sing the body electric_6



21st Gram_XVII


cf:  Eleonora  Manca


au bout d'une longue tige

/(La cow-girl)



Quand je ferme les yeux au volant, je vois quelqu'un qui danse à côté de moi, debout, sans soutien-gorge, et c'est aussi comme ça que j'aime danser. Au matin, ma main dans ses règles, la fille ne se souvient pas de moi. J'étais, dans mon état entre deux flux, sans colère, entre le relâchement et l'ouverture, toujours trop à l'écoute de mon propre corps, de sa présence poussée en avant, comme amarrée, lors d'une sorte de repli, à un rivage, pourtant traversée de forêts entières et de telles profondeurs. Quelque part ailleurs ma camionnette où je me tiens bonne compagnie. Vous n'imaginez pas ce qu'on ressent quand personne ne vous croit. J'en parle, à ma manière. Comme une exploratrice solitaire. Il était une fois ma caravane. D'une seule idée je les matais. J'avais pas beaucoup de temps à cause du soleil dans mon camion. De toute façon c'est comme ça, je n'avais jamais été bagarreuse. Impossible d'oublier que je suis en route vers quelque part. Même si je voulais me servir de la fille que j'avais prise loin de chez moi, dans un endroit marécageux, au bord d'une aire côté fourrés jaunâtres, comme de la machine à écrire à la place du mort utilisée du bras droit habillée du latex d'une housse encore molle qui faisait faible bâillon, le fusil dormant et le smiley entre l'ours et les remerciements, pour l'instant je ne ressentais rien encore et me présentais à elle, une fois installée à la place de la machine mentionnée, par une lettre tendue. Quand je la ramassais, elle se voulait plus maligne que les autres et attendait la fin. Alors je lui en ai parlé. Ce sera une toute autre histoire que celle vécue avant.
Prénom prometteur en devenant répété, me murmure à mesure une voix en écho, perdue dans l'intérieur, pendant que les gouttes s'évaporaient. Ce talus regonflera les voiles de mon royaume. Facilement, et comme un vrai produit. Quand elle monte dans le camion le principal est déjà atteint et d'un coup d'oeil étiole le reste. Aujourd'hui elle est chaude, devant l'appareil, mais qui la découvrira et la révélera. Elle ne dit rien et joue à faire un barrage inutile avec son corps en négatif. Les habits arrachés de cette fille qui accepta la défaite en niant qu'elle arriverait flottent comme des candélabres dans mes serres. Il n'y a pas de barrière avec le monde réel si bien que certaines stimulations, auditives par exemple comme les gargouillements, peuvent être intégrées sans problème par l'auto-stoppeuse tout à fait consciente d'être sous hypnose. Toutefois, le vécu de l'intervention se fera sans aucune angoisse, avec une distorsion du temps qui fait qu'elle semblera n'avoir duré que quelques minutes alors qu'elle pourra avoir duré plusieurs heures, au bout d'une longue tige, mais d'un coup. Un truc taillé à la serpe est parfois peu inutile, mais rarement, je précise, et ce texte sur l'hypnose était doublé d'un virus. A présent, j'ai encore quelques problèmes au niveau de l'écran, des lignes noires qui s'affichent comme s'il y avait une fuite. Elle se sent bien, maintenant, et moi aussi, ce que j'aime c'est qu'elle m'obscène. Quand je sens l'essence, elle adore, c'est bon signe, ça lui rappelle son enfance et les outils de travail qui y traînaient. Je dois dire que je me suis beaucoup amusée avec elle, jusqu'à lui donner la chair de poule. Des difficultés de la route dans son lyrisme elle ignore tout.
Elle s'assied et nous commençons notre leçon, n'est-ce pas ? Tout cela devient une habitude, seulement on ne fait pas tous les jours la même chose. Aujourd'hui c'est quartier libre, mais cette fois c'est la bonne. Après avoir choisi une poche de sécurité, je lui ai donné une fessée pendant qu'elle riait nerveusement et son cul est vraiment devenu zébré et fascinant. Je l'ai retournée sur la descente, j'ai recouvert sa bouche de ruban adhésif, lui ai bandé les yeux avec son tee-shirt et lié ses poignets par derrière avec une chaussette. Plus les perles attrapées sont maintenues plus je me divertis à tous vents. Le sentiment qu'elle éprouve est joli, tourné vers le large, mais j'aime craché dans son visage. terrifiée, elle a découvert sa propre détermination et a essayé de se barrer en se traînant nue sur sa gueule. Qui retrouvera son corps n'est pas important, pourvu qu'on la retrouve tant qu'elle est encore une chaude pelote; qui saura sinon ce qu'elle contenait.



in SinonBéatrice Cussol, Lauréli/Léo Scheer (pp.57/60)



vendredi 16 janvier 2015

comme une chose autre...

j'ai pensé la vie comme une chose autre par-delà les rues longues quelque alcôve incertaine savoir la fin importe peu de cirrus en nuée alarme passagère attendre encor élan après la stratosphère merde encor l'inutile fragile comme une fougue lente après l'histoire tel hémisphère ainsi hier élan savoir angoisse même après ton expérience de mémoire moindre à l'imagination effacée & distincte tes circuits ne sont point les miens par-delà rues désertes malaise à l'aine science vaine tentative élégance concrète telle idée de l'errance superbe après ces mêmes... hier rien hexagone.

mercredi 14 janvier 2015

taudis

ils s'ignorent ou s'égarent ou s'ennuient ou se perdent ou se gardent (de...) ou s'invitent ou s'arrachent ou s'éventent ou s'insèrent ou se fixent ou s'érigent ou dispersent ou attendent ou n'attendent point ou s'élancent ou divergent ou vendangent en tous sens du terme ou s'oublient ou souviennent parfois ou s'étirent ou se tendent ou voyagent en dernière ou savent qu'à la fin voix incertaine ou s'immiscent ou s'errancent ou s'enlisent ou surnagent ou s'étendent ou s'éloignent ou se plaignent écarlates ou inventent ou collapsent ou libèrent les flux ou gangrènent le reste ou étanchent ou déçoivent ou esquivent ou conçoivent ou aimantent ou parfois hier encor ou par-delà les strates, carnagent taudis ailleurs et ici même.

mardi 13 janvier 2015

Après les dombes...

Finir après les douves quelque errance hémisphère voir encor même  rien l'existence inconscience fatale ainsi merdre  connerie crasse animale je te sais encor pour quelques pas finir ailleurs certes et sans étreinte après les garde-fous ta ligne acide assèche ton ignorance certes savoir à la nuit quel étrange hémisphère savoir à la nuit encore hier au-delà des fenêtres intenses après isolement... à ta nuit encor merdre.

Dead Pop

Glam is gone

All you got is the sun

Suckers (are you ?)


The perfume, The Poison


samedi 10 janvier 2015

Oeil du gouffre



3.

Dans la discontinuité de phrases
tout autour de tables nappées de clair,
tandis que je voudrais coudre les fractions de mots
référents à un monde que je ne veux plus,
qui me cisaille et déchire la vision dehors
sous le ciel irradié de gris multipliant et d'éclaircies
presque aveuglantes,
soudain la vallée se bouche immensément. La brume
ouvre un passage dans les montagnes et le très loin -
les forêts, le lac supérieur, les ruines et la trouée
volcanique se réunissent dans une blancheur démesurée
par la diffusion volatile, magnétique
indistincte, dévorante,
opaque, et si persistante que je vois
dans mes yeux
et n'entends plus un son : il neige.
Il neige suivant un dessin
de plus en plus serré, la chute
immobilisant les vifs atomes de l'observation.
La conscience vient à dissoudre
la surface hypnotique
de l'averse.
Toutes les phrases
s'absolvent dans le simple
souffle de l'attente.
Le monde rendu, l'Ange passe, il faut boire (l'eau pâle).
Attendre.


extrait de pluies de neige, in Venezia Central, FJ Ossang , Le Castor Astral (p. 107)




vendredi 9 janvier 2015

finis-moi (anaphore ou...)

finis-moi quelque instant comme encor après cette kermesse capitale sous bombes songeait à perdre haleine

finis-moi salope, je le suis tout autant après les hémisphères pendre ailleurs il est temps à l'encor atmosphère

finis-moi malheureuse à l'errance incertaine & pourtant mensongère nous le sommes encor ici & ici-même

finis-moi oraison & même pas funèbre encor incantations par-delà merde humaine après les ponts selon

finis-moi quand tu fuis pour un extime temps après quelque manière de voir incandescente encor dissonance

finis-moi sur velin allonge je l'attends certes encor oriflamme après cette ignorance dérange ailleurs même...

suicide(s)

1917


1926




1932



je me tais...


samedi 3 janvier 2015

vivre (6)

diviser daigner pareil au même.

vendredi 2 janvier 2015

saoul même

dormir cent années saoul même nu à l'abandon nerfs insanes distribution intense supplique désire encore plus rien encor le temps presque juste laide insolence bascule après cette vie lasse quel excès ton évidence parmi les torrents bascule à la nuit cul à l'équerre quand ventre gronde même hier ta capacité d'ondes quand l'infini ricane l'éternité s'ébranle encor un temps à la secousse mouvements intimes ou mensongers intimes ou mensongers inondent en mouvement après d'ombre(s) cette zone inclination poste restante quand lèvres rousses transparence à l'envi lasse indolence morsure élan près ce destin incertain même à la pénombre ta faïence...